Utilisateur:Capucine

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            L'Eriskay (gaélique écossais : Each Beag nan Eilean) est une race de poneys originaire de l'île du même nom, à l'Ouest de l'Écosse.

Indigène de son île, il est décrit comme proche des chevaux dépeints sur les pierres pictes, bien que cette relation reste controversée. Il descend vraisemblablement du poney celte, constituant l'un des derniers survivants des populations de poneys natifs des Hébrides. L'une de ses lignées a échappé à tout croisement extérieur depuis le xvie siècle. Destinée au portage de la tourbe et des algues dans des paniers, la race est menacée de disparition avec la motorisation de ces activités, au xxe siècle. Elle est préservée grâce à la constitution d'une association de sauvegarde en 1972.

Ce poney rustique, de robe généralement grise, fait un bon animal de famille, qui peut être monté par des enfants ou des adultes légers grâce à sa force. Il participe aussi à des gestions de territoires par écopâturage. Très menacé, il bénéficie de programmes de conservation qui ont permis de faire remonter sa population à 420 sujets en 2009.
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            Élisabeth Dmitrieff, de son vrai nom Elizaveta Tomanovskaïa (en russe : Елизавета Томановская), née Elizaveta Loukinitchna Koucheleva (en russe : Елизавета Лукинична Кушелева), le 1er novembre 1851 ou le 1er novembre 1850 à Volok, village de l'ouïezd de Toropets (gouvernement de Pskov, Empire russe), et morte entre 1910 et 1918, suivant les sources, est une révolutionnaire et militante féministe russe.

Elle naît dans une famille aristocratique russe, ce qui lui donne accès à une éducation privilégiée, mais son statut de fille, et d'enfant née hors mariage, ainsi que la nationalité allemande de sa mère la marginalisent au sein de l'aristocratie russe, provoquant son intérêt pour la philosophie du marxisme et les idées radicales de Nikolaï Tchernychevski. Elle se marie pour échapper à sa famille et pouvoir aller étudier à Genève, où elle codirige La Cause du peuple et participe à la fondation de la section russe de l'Association internationale des travailleurs.

Envoyée par Karl Marx à Paris pour suivre les évènements après la proclamation de la Commune de Paris le 18 mars 1871, elle devient l'une des femmes les plus actives dans la Commune de Paris. Elle fonde l'Union des femmes, la première association à promouvoir les droits des femmes, et spécifiquement leur droit à des conditions de travail décentes en France. Elle participe à la défense de Paris pendant la Semaine sanglante puis s'enfuit à Genève, retourne enfin en Russie. Elle se marie en 1877 avec Ivan Davidovski, le chef d'une bande de malfrats appelés les Valets de Cœur, afin de pouvoir le suivre dans son exil en Sibérie lorsqu'il est condamné pour escroqueries et meurtre. Obligée de cacher son identité car recherchée par les polices française, suisse et russe, elle ne peut révéler son passé de communarde et passe les dernières années de sa vie dans l'oubli. La date de son décès est incertaine.

Une place porte son nom à Paris et un musée lui est dédié dans son village natal à Volok. Un temps tombée dans l'oubli et éclipsée par Louise Michel, sa participation à la Commune de Paris et l'histoire de sa vie ont inspiré nombre de biographes.
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            Le Maine est une région historique et culturelle française, correspondant à une ancienne province et dont la capitale est Le Mans. Le Maine fut aussi un comté puis un duché. Situé dans le nord-ouest de la France, entre Paris et la Bretagne, le Maine est à cheval sur le massif armoricain et sur le bassin parisien.

Né de la réunion du territoire de deux tribus gallo-romaines, les Diablintes et les Cénomans, le Maine existe d'abord grâce à la création du diocèse du Mans au tout début du Moyen Âge. Il existe ensuite en tant que comté autonome, mais il est absorbé dans l'Empire Plantagenêt, né dans le comté voisin d'Anjou. Il est rattaché au domaine royal français par Philippe Auguste. Également limitrophe de la Bretagne et de la Normandie, le Maine a longtemps servi de région-tampon entre des entités souvent rivales. Bien que son identité soit en partie influencée par ces voisins imposants, le Maine se rattache plutôt par sa culture au Val de Loire. Il est d'ailleurs traversé par trois affluents conséquents du fleuve royal, la Mayenne, la Sarthe et le Loir.

Disparu officiellement lors de la création des départements en 1790, le Maine a été partagé entre la Sarthe et la Mayenne, qui ont aussi reçu des territoires de l'Anjou et, dans le cas de la Sarthe, du Perche. Le terme « Maine » est encore employé par plusieurs institutions et entreprises en Sarthe et en Mayenne, comme le quotidien Le Maine libre, France Bleu Maine, le parc naturel régional Normandie-Maine, ainsi que certaines communes et intercommunalités.

Le Maine forme une partie de la région des Pays de la Loire, dont il demeure la partie la plus rurale, la plus faiblement peuplée et aussi la plus discrète. En dehors de la capitale historique, Le Mans, les principales villes du Maine sont Laval, Mayenne, Sablé-sur-Sarthe, La Ferté-Bernard, Château-du-Loir et Mamers.
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            Go Vacation est un jeu vidéo de type party game développé et édité par Namco Bandai Games sur Wii et Nintendo Switch. Il s'agit du troisième opus de la série We Ski.

Dans le jeu, jusqu'à quatre joueurs peuvent jouer à une cinquantaine de mini-jeux sportifs se déroulant dans un complexe insulaire fictif comprenant quatre stations. Ceux-ci vont des activités de plein air telles que le kayak et l'équitation à des jeux comme le hockey sur table et le minigolf. Les joueurs peuvent personnaliser la tenue de leur avatar et décorer leur maison.

Le développement du jeu a commencé en 2009 et a duré deux ans et demi. Celui-ci a été révélé à l'E3 2011 et est sorti moins d'un an plus tard sur Wii. Il a ensuite été porté sur Nintendo Switch en 2018, dans une version comprenant des fonctionnalités supplémentaires comme le safari photo.

Le jeu a reçu des critiques mitigées : celles-ci font l'éloge de l'aspect multijoueur et de la créativité du titre, mais lui reprochent sa bande-son, ses environnements, sa jouabilité et la qualité inégale de ses mini-jeux. Il s'est cependant positionné à la troisième place des ventes au Japon la semaine de sa sortie, période durant laquelle se sont vendues 47 000 copies dans le monde.
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            Le Petit Bacchus malade ou Autoportrait en Bacchus est un tableau exécuté par Michelangelo Merisi dit Le Caravage, probablement en 1593 voire en 1594, et conservé à Rome dans la galerie Borghèse. Réalisé au début de sa période romaine alors qu'il est âgé d'une vingtaine d'années, c'est une des toutes premières œuvres répertoriées du peintre lombard.

Le tableau est généralement considéré comme un autoportrait réalisé à l'aide d'un miroir. Il représente en demi-figure un jeune garçon habillé en Bacchus, associé à des éléments de nature morte. Le teint jaunâtre du personnage, ainsi que certains éléments perceptibles sur les traits de son visage, font penser que le jeune Merisi a pu se représenter malade — peut-être de la malaria — ou convalescent : c'est en tout cas l'avis de l'historien de l'art Roberto Longhi qui, en 1927, réattribue l'œuvre au peintre lombard et la nomme au passage Il Bacchino malato en italien. Qu'on considère le Bacchus comme malade ou non, il existe diverses interprétations possibles du tableau et de son personnage central.

Aucun commanditaire n'est connu pour ce tableau de chevalet, dont il est présumé qu'il a été réalisé alors que le jeune peintre travaillait dans l'atelier du Cavalier d'Arpin : c'est justement lui qui en est le premier propriétaire connu, mais qui doit s'en séparer en 1607 au profit de la famille Borghese, qui le conserve depuis dans ses collections.

Le thème de Bacchus est traité à deux reprises par Caravage : d'une part dans cette œuvre de jeunesse, d'autre part dans un tableau un peu plus tardif conservé à la galerie des Offices de Florence.
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            La détresse respiratoire est une insuffisance respiratoire survenant de manière brutale et se manifestant par une dyspnée importante (essoufflement). Le système respiratoire ne parvient alors plus à assurer les échanges gazeux normaux d'oxygène et de dioxyde de carbone. C'est une urgence médicale qui peut engager le pronostic vital du patient, et entraîne environ un tiers des hospitalisations en unité de réanimation.

Il existe deux grands types de détresse respiratoire : hypoxémique, lorsque seule la pression partielle de dioxygène dans le sang artériel est abaissée, et hypercapnique, lorsque se surajoute une élévation de la pression partielle en dioxyde de carbone.

Le diagnostic de détresse respiratoire est avant tout clinique : peu d'examens complémentaires sont nécessaires, et ceux-ci sont dominés par la mesure du contenu en oxygène du sang par un saturomètre, l'étude des gaz du sang par un prélèvement artériel et la radiographie pulmonaire. D'autres examens vont cependant permettre d'affiner le diagnostic étiologique et d'identifier le processus causant la défaillance.

Adultes comme enfants peuvent souffrir d'une détresse respiratoire. Chez l'adulte, les infections pulmonaires, les décompensations de bronchite chronique, le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et l'insuffisance cardiaque, figurent parmi les causes les plus fréquentes. Chez le jeune enfant, les bronchiolites et les infections pulmonaires bactériennes sont les plus impliquées. Chez le nouveau-né, le SDRA et l'inhalation de méconium sont principalement en cause.
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            Philon d’Alexandrie (grec : Φίλων ὁ Ἀλεξανδρεύς, Philôn ho Alexandreus, latin : Philo Judaeus, « Philon le Juif », hébreu : פילון האלכסנדרוני, FYLôN HaLeKSaNDRôNY)1 est un philosophe juif hellénisé qui est né à Alexandrie vers 20 av. J.-C., où il est mort vers 45 apr. J.-C. Contemporain des débuts de l’ère chrétienne, il vit à Alexandrie, qui est alors le grand centre intellectuel de la Méditerranée. La ville compte une forte communauté juive dont Philon est un des représentants auprès des autorités romaines. Son œuvre abondante est principalement apologétique, entendant démontrer la parfaite adéquation entre la foi juive et la philosophie hellénique.

Dans son œuvre, Philon interprète la Bible à travers la philosophie grecque principalement à l'aide de Platon et des stoïciens. Il en résultera dans les siècles qui suivront non pas une soumission de la théologie à la philosophie, mais au contraire de la philosophie aux Écritures. Si la pensée de Philon imprègne les Pères de l'Église, dont Origène, Ambroise de Milan et Augustin d'Hippone, son influence est faible sur la tradition juive, notamment sur la tradition rabbinique qui prendra naissance un ou deux siècles après sa mort. Cela tient pour partie au fait qu'il utilise la Septante (Bible traduite en grec) plutôt qu'une Bible en hébreu, et pour partie au fait qu'il interprète la Torah de façon allégorique. Son œuvre donne aussi des indications sur des mouvements religieux aujourd'hui disparus comme les Thérapeutes d'Alexandrie.

Philon est le premier à avoir pensé Dieu en architecte de l'univers, alors que chez Platon le démiurge est un artisan et que chez Aristote le monde est incréé. Dieu étant transcendant, son œuvre accorde une grande importance à la Providence divine et à la grâce, reconnaissant que le monde appartient à Dieu et non aux hommes. Ainsi, si les êtres humains peuvent avoir une certaine parenté spirituelle avec Dieu, ils ne sont pas au même rang que lui. Croire l'inverse serait succomber au mal. Dieu agit au moyen des puissances divines : celle qui crée, celle qui ordonne, celle qui interdit, la compassion ou la miséricorde et enfin la puissance royale ou souveraine. Pour Philon, il existe deux sortes d'anges : ceux qui ont aidé Dieu à créer le monde et ceux qui assistent les hommes dans leur ascension vers Dieu.
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            Les meurtres rituels de Toa Payohnote 1 sont une affaire criminelle survenue à Singapour en 1981. Le 25 janvier, le corps d'une fillette de neuf ans fut découvert près de l'ascenseur d'un immeuble d'habitations dans le district de Toa Payoh et, deux semaines plus tard, un garçon de dix ans fut retrouvé mort à proximité de cet endroit. Les deux enfants avaient été tués lors d'un rituel en l'honneur de la déesse hindoue Kali, dont le rôle traditionnel consiste à protéger les fidèles contre les démons et les calamités. Or, en temps normal, l'adoration de cette déesse ne s'accompagne pas de sacrifices4. Les meurtres avaient été planifiés par Adrian Lim, un « médium » auto-proclamé qui avait convaincu plusieurs femmes qu'il détenait des pouvoirs surnaturels. Ses victimes lui offraient de l'argent et des services sexuels en échange de cures, de promesses de beauté et de chance. Deux de ces femmes devinrent des assistantes fidèles : Tan Mui Choo, que Lim épousa, et Hoe Kah Hong, qui devint l'une de ses « femmes saintes ». Lorsque la police enquêta sur une accusation de viol déposée par l'une des victimes de Lim, celui-ci devint furieux et décida de tuer des enfants pour faire échouer l'enquête. À chaque fois, Hoe attirait un enfant dans la résidence de Lim, puis le trio le droguait avant de le tuer. Également, Lim abusa sexuellement d'une petite fille avant sa mort. Le trio fut arrêté lorsque la police découvrit une trace de sang qui menait à la résidence.

Le procès de 41 jours fut le plus long jamais tenu devant une cour de Singapour à l'époque. Aucun avocat de la défense ne rejeta la culpabilité de Lim et de ses comparses, mais ils tentèrent de leur éviter la peine capitale en affirmant qu'ils souffraient de capacités diminuées, et en plaidant qu'ils étaient mentalement malades, afin qu'ils ne puissent être entièrement tenus responsables des meurtres. Pour étayer leur défense, les avocats firent venir des médecins, des psychologues et des psychiatres, qui conclurent que les accusés montraient des symptômes de schizophrénie, de dépression psychotique et d'hypomanie. Cependant, l'expert du procureur réfuta ces conclusions et affirma que les accusés avaient le plein contrôle de leurs facultés mentales lorsqu'ils avaient planifié et effectué les meurtres. Les juges penchèrent en faveur du procureur et le trio fut condamné à la pendaison. Installées dans le couloir de la mort, les femmes firent appel au comité judiciaire du Conseil privé à Londresnote 2 et demandèrent leur grâce au président de Singapour, en vain. Les trois furent pendus le 25 novembre 1988. Lim, qui n'avait pas demandé de grâce, se dirigea vers la potence en souriant.

Ces meurtres choquèrent le public de Singapour : les gens furent surpris que de tels comportements puissent survenir dans leur société. Les rapports sur les activités du trio et les procédures judiciaires furent suivis avec attention. Les actions du trio furent régulièrement mentionnées dans les échanges publics pendant plusieurs années. À deux reprises, des studios de cinéma tentèrent de profiter de l'engouement causé par les meurtriers. Cependant, les critiques furent sévères, affirmant que les films comportaient des scènes de violence et de rapports sexuels superflus, et ils firent piètre figure au box-office. Les actions et le comportement des trois tueurs furent étudiés par des spécialistes en criminologie, et les jugements rendus servirent de jurisprudence en cas de capacités diminuées.

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