|
|
| Ligne 1 : |
Ligne 1 : |
| | Coucou voici Nathan | | Coucou voici Nathan |
| − |
| |
| − | Images est une exposition au Fridericianum Kassel cura-té par Susanne PFEFFER1
| |
| − | • Comment par un processus d’interaction multiple et l’influence des nouvelles technologies le potentiels de l’imaginaire et l’image visuelle est devenu de plus en plus important
| |
| − | L’exposition présente des artistes qui travaillent sur les mutations de l’image et de sa circulation et de son flux
| |
| − | ◦ Pour D.N RODOWICK2 > la question de l’art moderne était comment libérer l’image aujourd’hui pour les contemporains c’est de savoir comment trouver de nouvelle approche pour reconfigurer cette question de manière à l’actualiser à notre environnement médiatique.
| |
| − | ◦ Dans un continuum ou BENJAMIN craint la reproductibilité BAUDRIART exprime l’affirmation du post-modernisme et ne distingue plus l’original de la copie > Pour l’auteur le 11/09 et les guerre du golf on discrédité la pensé de BAUDRIART avec l’arriver des actes de terreurs médiatisés > Comment aborder les images peuvent nous permettre d’aborder le réel. Le réelle est la ou la violence est faite au corps mais l’art y est impuissant > malgré la violence généralisé
| |
| − | ◦ Pour parler de Francis BACON Gilles DELEUZE remarque que l’artiste ne commence jamais sur une surface vierge > Cette espace vide est encombré de cliché visuelle la question est donc comment donner une image critique à partir du vaste flux d’image reproduites
| |
| − | ◦ En cela l’exposition est une étude de ce problème et des réponse critiques à apporter à ces questions
| |
| − | ▪ Plato’s Dual Action:Same/Idea/Transposed (2004), de STURTEVANT: dont le dispositif de deux écrans face à face suggère une caverne médiatisé d’où il n’y a pas de sortie > Une image renvoie à une autre et non à une réalité extérieur
| |
| − | ▪ Made in Eaven de Mark LECKEY produit une abîme perceptuel similaire dans laquelle la perception apparente de la profondeur optique est résorber par la surface de l’image de par son matériaux
| |
| − | • Une réplique de Rabbit (1986) Jeff KOONS > Il utilise la réflexion que permet l’œuvre pour représenter son studio
| |
| − | ◦ Dans le reflet on ne voit pas de camera la vidéo est produite numériquement bien que diffusé sous forme de film 16mm
| |
| − | ◦ Cette réflexion sur l’image passe notamment par sa diffusion, l’exposition commence donc sur l’un des principes de la diffusion de l’image la réglementation du droit d’auteur
| |
| − | ▪ Ann Lee et ces diverses incarnations symbolisent dans le projet No Ghost Just a Shell cette condition primaire de la diffusion d’images
| |
| − | ▪ La fonction du langage dans sa capacité à attribuer et à extraire une valeur d’échange avec les phrases de Pierre HUYGHE : I Do Not Own Snow White
| |
| − | • Un individu peut-il s’approprier un personnage de compte de fée à la manière de Ann Lee
| |
| − | ◦ Les néons de RSI, un bout du réel, 2006: Sur la base d’un dessin inachevé du psychanalyste Jacques LACAN. Dans la théorie de LACAN, les registres du Réel, du Symbolique et de l’Imaginaire ( RSI ) forment les condition structurelles du sujet dans une relation de dépendance mutuelle. Si LACAN accorde au langage une place centrale, il choisit une image pour l’expliquer
| |
| − | ▪ Celle du nœud borroméen : Dans le nœud les registres s’entremêlent symboliquement comme trois anneaux
| |
| − | • Si un anneaux se desserre la liaison entre les autres dans les nœuds se desserre également
| |
| − | ◦ C’est la que nous rencontrons le réel comme violence perceptive, avec l’interrogation de comment déchiffrer l’image quand il n’y a plus de réalité. Avec la vidéo de manifestation d’enfants aux pancartes No More Reality de Philippe PARRENO
| |
| − | ◦ Face au schéma cauchemardesque de ADORNO3 où le mondes est si universellement imprégner de la logique du fétichisme de la marchandisation, ses fonctions et rapport d’échanges qu’ils soit sociaux ou esthétique sont submergés par la valeur d’échange qui devient leur seul référent l’autonomie d’une expérience esthétique à l’égard de ces forces. > L’autonomie de l’art est indissociable de sa capacité critique
| |
| − | ◦ Comment le lien entre technique et technologies doit être relâché pour atteindre de nouveau style d’expression et de construction
| |
| − | ▪ La réponse face au concept conventionnelle de la peinture de Wade GUYTON avec l’utilisation d’images imprimées jet d’encre sur toile: Untilted, 2006
| |
| − | • Il développe une méthode de reproduction qui permet une interprétation ouvert au maximum. Il invoque le vocabulaire et la revendication d’autonomie associée de la modernité abstraite et le soumet à des stratégies de variations et de répétitions
| |
| − | ◦ Mark LECKEY: Images, 2007: œuvre intitulée Images composée que de mots
| |
| − | ▪ L’images est manquante, elle n’est jamais complète
| |
| − | ◦ Quelle inter-relation entre l’images est le medium dans Fuck Seth PRICE , PRICE évoque la distanciation possible dans les matériaux contemporains utilisés
| |
| − | ▪ La fragilité de le l’œuvre dans son matériaux aux images fortes avec Hostage Video Still With Time Stamp, Seth PRICE, 2005 ou bien Double Hunt. L’utilisation des matériaux vient déstabiliser l’image , à mettre en avant sa matérialité pour percer son pouvoir
| |
| − | • L’image et le matériaux sont pensés aux antipodes, il défie le règne de l’image en mettant en avant la matière
| |
| − | ◦ Dans Double Hunt l’image des grottes de Lascaux marque un dépassement de l’image originel > Le modèle qui a servi à l’impression n’est pas qu’un reproduction numérique d’une motif sur un mur qui lui aussi est une reproduction des réels dessins sur la grotte de Lascaux qui on été réalisés pour protéger les vrais dessins originaux
| |
| − | ◦ Hostage Video Still With Time Stamp,Double Hunt > Les images fixes de la vidéo d’otage sont des appropriations d’un motif cruel ( décapitation djihadistes ) > Il retire les images de leur circulation numérique, fige les séquences d’action en motif fixes, les recadrent et les éditent les impriment dans un processus de sérigraphie
| |
| − | ▪ Il les déforment jusqu’à ce que le motif ne puisse être reconnu que schématiquement. Les images qui montrent une violation possible de l’intégrité humaine sont violées dans leur propre intégrité en tant qu’images
| |
| − | ◦ Michel MAJERUS:
| |
| − | ▪ Intègre des citations visuelles de la culture de masse, du jeu et du cyberespace dans une imagerie agressive.
| |
| − | • Très tôt il utilise des outils d’imagerie numérique, tels que des programmes vectoriel et des logiciel de traitement d’images.
| |
| − | ▪ Développe des stratégies pour traiter des images existantes
| |
| − | ▪ A travers une sérié d’œuvre en 60cm x 60cm MAJERUS commente les conditions d’exposition dans la formation sans cesse renouvelés.
| |
| − | • Les styles de peintures et les motifs inspirés de DeKOONING, Frank STELLA, RICHTER, BASQUIAT, WARHOL, apparaissent comme des effet techniques.
| |
| − | ◦ La citations comme méthode lui permet d’intégrer presque tout dans son travail
| |
| − | ▪ Michel MAJERUS : Controlling the moonlight maze
| |
| − | • Le FBI donne le nom de code «Moonlight Maze» abrégé «MM» à l’attaque de hacker la plus agressive et persistantes contre le gouvernement américain jusqu’en 1998.
| |
